viernes, marzo 27, 2009

Paréntesis quirofanil



Así es, me dejan elegir el equipo de cirujanos.

En otro orden de cosas, a mi regreso les explicaré algunas cositas sobre mis últimas lecturas decadentes, Murger y Huysmans. Para el entretanto les dejo con unos poemas y un epitafio de Les amours jaunes (Los amores amarillos), (París, 1873), de Tristan Corbière, que es el señor de la foto de abajo. La traducción es de José Ramo.



Épitaphe

Sauf les amoureux commençons ou finis
qui veulent commencer par la fin il y
a tant de choses qui finissent par le
commencement que le commencement
commence à finir par être la fin la fin
en sera que les amoureux et autres
finiront par commencer à recommencer par
ce commencement qui aura fini par n'être
que la fin retournée ce qui commencera
par être égal à l'éternité qui n'a ni
fin ni commencement et finira par être
aussi finalement égal à la rotation de
la terre où l'on aura fini par ne
distinguer plus où commence la fin d'où
finit le commencement ce qui est toute
fin de tout commencement égale à tout
commencement de toute fin ce qui est le
commencement final de l'infini défila
par l'indéfini... Égale une épitaphe égale
une préface et réciproquement.

[P.S.: El hombre es la medida de su epitafio.]


A l'éternel madame

Mannequin idéal, tête-de-turc du leurre,
Éternel Féminin!... repasse tes fichus;
Et viens sur mes genoux, quand je marquerai l'heure,
Me montrer comme on fait chez vous, anges déchus.

Sois pire, et fais pour nous la joie à la malheure,
Piaffe d'un pied léger dans les sentiers ardus.
Damne-toi, pure idole! et ris! et chante! et pleure,
Amante! Et meurs d'amour!... à nos moments perdus.

Fille de marbre! en rut! sois folâtre!... et pensive.
Maîtresse, chair de moi! fais-toi vierge et lascive...
Féroce, sainte, et bête, en me cherchant un coeur...

Sois femelle de l'homme, et sers de Muse, ô femme,
Quand le poète brame en Ame, en Lame, en Flamme!
Puis -quand il ronflera- viens baiser ton Vainqueur!

Al eterno señora

Ideal maniquí, comodín del señuelo,
¡Eterno femenino!... plancha tus pañoletas:
Siéntate en mis rodillas cuando lo ordene y dime
qué artimañas usáis, ángeles degradados.

Sé perversa y alégranos la hora desdichada,
piafa con pie ligero los senderos abruptos.
¡Arde, ídolo puro! ¡y ríe! ¡y canta! ¡y llora,
querida! ¡Y de amor muere!... en los ratos perdidos.

¡Ninfa de mármol! ¡vamos! sé soñadora ¡y frívola!
Amante, ¡carne mía! hazte virgen, lasciva…
Feroz y santa y torpe, buscando un corazón…

Sé la hembra del hombre, mujer, sirve de Musa
cuando el poeta brama ¡en Alma, Espada y Llama!
Y después -cuando ronque- ¡besa a tu Vencedor!


Pauvre garçon

La Bête féroce.

Lui qui sifflait si haut, son petit air de tête,
Etait plat près de moi; je voyais qu'il cherchait...
Et ne trouvait pas, et... j'aimais le sentir bête,
Ce héros qui n'a pas su trouver qu'il m'aimait.

J'ai fait des ricochets sur son coeur en tempête.
Il regardait cela... Vraiment, cela l'usait?...
Quel instrument rétif à jouer, qu'un poète!...
J'en ai joué. Vraiment moi cela m'amusait.

Est-il mort?...Ah c'était, du reste, un garçon drôle.
Aurait-il donc trop pris au sérieux son rôle,
Sans me le dire... au moins. Car il est mort, de quoi?...

Se serait-il laissé fluer de poésie...
Serait-il mort de chic, de boire, ou de phthisie,
Ou, peut-être, après tout: de rien...
ou bien de Moi.


Pobre muchacho

Él, que altivo silbaba su tonada en falsete,
se humillaba ante mí: lo veía buscar…
no encontrar…, me gustaba percibir la torpeza
de este héroe que no supo descubrir que me amaba.

Sobre su corazón tempestuoso alcé
cabrillas. Él miraba… ¿Eso lo consumía?
¡Qué instrumento tan reacio a dejarse pulsar,
el poeta!... Y pulsé. Yo pulsé y me gustaba.

¿Ha muerto?... Era un muchacho, por lo demás curioso.
¿Tomó excesivamente en serio su papel?
Sin decírmelo… al menos. -Porque ha muerto, ¿de qué?...

¿Acaso se dejó vaciar de poesía?...
¿Moriría de tisis, de beber o de chic?
O quizás, finalmente: de nada… O bien de Mí.


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lunes, marzo 23, 2009

Falleras Sin Fronteras (FSF)


Chaval de la aldea y equipo de cooperantes de FSF



Falleras huyendo de una tormenta sudanesa que confundieron con la Mascletà



Falleritas chuscas con chusco provocando un chasco a un pastorcillo somalí y un chasquido de lenguas entre las cabras


Una cooperante de FSF se lamenta de no encontrar rosquilletes en el almacén


La cooperante del mes

jueves, marzo 05, 2009

Harpo

HARPÓCRATES (Har pa Jard): Horus el Niño.

"Entre las divinidades del panteón egipcio, existe una,
de relativa difusión, que es la de Horus y que, en la plástica, aparece
sobre todo como Horus-niño, en griego, Harpócrates. Se le reconoce
por su aspecto de niño, desnudo, con el pelo trenzado sobre las
sienes y, en la cabeza, la doble corona del Alto y Bajo Egipto, precisamente
como heredero de Osiris, con el cuerno de la abundancia en
su mano izquierda; a veces lleva alas, y un detalle muy significativo
es el gesto característico de llevarse el dedo a la boca, como imponiendo
silencio."



Estatuillas de Harpócrates con el cuerno de la abundancia y Harpo con su bocina (en inglés, horn).